Jean-Luc aime faire de la randonnée, du vélo et voyager à travers l'Europe, l'Afrique du Sud, le Costa Rica, le Maroc et d'autres pays lointains avec ses amis et sa famille. Il n'est pas un athlète passionné, mais il pratique le tai-chi. Jean-Luc est cependant un lecteur invétéré. Sur sa table basse se trouvent actuellement « Grand Hotel Europa » d'Ilja Pfeijffer, « De wereld is rond » (Le monde est rond) de Jo Caudron et « Iedereen kan leiden » (N'importe qui peut diriger) de Frans van de Ven. Il est intrigué par le leadership et pense que la série télévisée « Casa de Papel » est un exemple parfait de gestion de crise et de stratégie.
La devise de Jean-Luc est « voir l'extraordinaire dans l'ordinaire ». Les tâches et les activités ordinaires - si elles sont bien exécutées - peuvent être épanouissantes ET très agréables.
Jean-Luc n'aime pas l'héroïsme et n'est pas idolâtre. Il admire les entrepreneurs qui accordent de l'attention aux personnes. Les bons dirigeants parlent le langage des travailleurs et maîtrisent aussi le jargon de l'argent. Il respecte les gens qui ne se prennent pas trop au sérieux.
La connaissance de soi est le point de départ de l'interaction avec les autres. Le fait de se rendre vulnérable et d'admettre que l'on s'est trompé démontre de l'authenticité et une capacité à entrer en contact avec les autres.
Jean-Luc conseillerait à son jeune alter ego d'être moins perfectionniste et exigeant. En d'autres termes, de gérer le doute, d'oser prendre plus de risques et de se lancer plus vite. En tant que jeune professionnel, il a été entouré de deux mentors plus haut placés dans l'organisation. Ils ont cru en lui de manière inconditionnelle et l'ont aidé à se surpasser. « Les bons mentors ont le don de faire ressortir le meilleur de quelqu'un, même si cette personne n'a pas encore pris conscience de son propre potentiel », déclare-t-il.
Jean-Luc trouve que c'est un honneur et une expérience enrichissante (à double titre !) d'être à son tour mentor et d'accompagner d'autres personnes dans leur développement.
Qui plus est, son fils lui sert désormais de mentor, puisqu'ils gèrent leur entreprise comme deux capitaines de navire. Le fils lui donne des conseils et peut remettre en question la valeur ajoutée et l'approche commerciale du père, ce qui constitue un excellent exemple de « mentorat inversé ».
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